Loin de mes yeux,
Dans mon cœur
Ce soir, je tremble, rêvant de me blottir entre tes bras,
Les yeux mi-clos, malgré moi, je te cherche sans cesse,
Pour qu’enfin nos regards se croisent et s’accrochent,
D’un geste sur ta photo, mes doigts paressent,
Dans l’espoir que mon regard dans le tien brillera.
La nuit vient s’étendre à la fine lueur d’un clair de lune,
Accompagnée des voiles d’un air zéphyrien, je frissonne.
Sous la voute parsemée d’étoiles, j’observe ton visage,
Je tends ma main, essayant d’atteindre la tienne,
Tout doucement, de toi, peu à peu, je me rapproche,
Laisse-toi aller contre moi, dans une danse vénitienne,
Près de toi, je rêve de partager une multitude de paysages.
Fixer le soleil couchant disparaitre derrière les dunes,
Ressentir au fond de nous un rêve devenant réel qui se façonne.
Lorsque je te sens trop éloigné, c’est mon cœur qui est inanimé,
Seulement les fines lueurs de ton regard sauraient le nourrir,
De mes lèvres frémissantes, un sourire en coin, tu décroches,
Dans mon cœur, tu restes, aux creux de mes gestes et mes soupirs,
Loin de mes yeux, tu auras beau être, je ne cesserai jamais de t’aimer.
Dans mon cœur
Ce soir, je tremble, rêvant de me blottir entre tes bras,
Les yeux mi-clos, malgré moi, je te cherche sans cesse,
Pour qu’enfin nos regards se croisent et s’accrochent,
D’un geste sur ta photo, mes doigts paressent,
Dans l’espoir que mon regard dans le tien brillera.
La nuit vient s’étendre à la fine lueur d’un clair de lune,
Accompagnée des voiles d’un air zéphyrien, je frissonne.
Sous la voute parsemée d’étoiles, j’observe ton visage,
Je tends ma main, essayant d’atteindre la tienne,
Tout doucement, de toi, peu à peu, je me rapproche,
Laisse-toi aller contre moi, dans une danse vénitienne,
Près de toi, je rêve de partager une multitude de paysages.
Fixer le soleil couchant disparaitre derrière les dunes,
Ressentir au fond de nous un rêve devenant réel qui se façonne.
Lorsque je te sens trop éloigné, c’est mon cœur qui est inanimé,
Seulement les fines lueurs de ton regard sauraient le nourrir,
De mes lèvres frémissantes, un sourire en coin, tu décroches,
Dans mon cœur, tu restes, aux creux de mes gestes et mes soupirs,
Loin de mes yeux, tu auras beau être, je ne cesserai jamais de t’aimer.