Lutin des bois, en pyjama,
Courant ma foi, selon ses choix.
Fêter Noël ? Ça je n’sais pas.
Malgré cela, il a très froid.
Le nez glacé, les moufles trouées,
Il se perd dans la brume, la ville enneigée.
Cherchant avec amertume, la place réchauffée.
Guidé par l’effort, par l’espoir de trouver.
Alors qu’il a oublié ses clefs près de la cheminée,
Il est condamné, à rester gelé.
Et pourtant cherche un endroit,
Où il pourrait se reposer.
Alors qu’il marche dans le froid,
Son bonnet en laine sur la tête.
Il crie à l’aide, cherchant refuge.
Avec peine, et motivation perdue.
Jusqu’à ce qu’il entende chanter,
Un petit air, bien célèbre.
Qui se répète, jamais ne s’arrête.
Harmonieux, bien joyeux, là-haut depuis les cieux.
Et puis, il lève la tête,
Et aperçoit, bien étonné.
Un Père Noël, tout boudiné.
Sur un traîneau, tout argenté.
Le nez en l’air, les oreilles au vent,
Il voit un sac, qui se rapproche,
Pour tomber, et l’écraser.
Comme une crêpe, bien affinée.
Le Père Noël, tout confus,
Descend sur terre, les pieds goulus.
De toutes des forces, tire le sac,
Qui en vain, reste sur place.
Perdant espoir, il prend une corde,
Et l’attache au traîneau, depuis le sac.
Puis dit aux rennes de bouger d’ici.
Que Noël approche, il ne faudrait pas les ralentir.
Après cette soirée enchantée,
Que Noël est terminé,
Le Père Noël rentre chez lui,
Tout fière de lui, sa mission accomplie.
Alors que les rennes sont endormis,
Il range ses chaussures, son bonnet, et son habit.
Puis prend le sac, pour le ranger,
Et trouve le lutin écrabouillé.
Celui-ci se réveille tard dans la soirée,
Face à une tasse de thé, près de la cheminée.
Il s’endort paisiblement,
Après cette soirée, bien mouvementée.
Courant ma foi, selon ses choix.
Fêter Noël ? Ça je n’sais pas.
Malgré cela, il a très froid.
Le nez glacé, les moufles trouées,
Il se perd dans la brume, la ville enneigée.
Cherchant avec amertume, la place réchauffée.
Guidé par l’effort, par l’espoir de trouver.
Alors qu’il a oublié ses clefs près de la cheminée,
Il est condamné, à rester gelé.
Et pourtant cherche un endroit,
Où il pourrait se reposer.
Alors qu’il marche dans le froid,
Son bonnet en laine sur la tête.
Il crie à l’aide, cherchant refuge.
Avec peine, et motivation perdue.
Jusqu’à ce qu’il entende chanter,
Un petit air, bien célèbre.
Qui se répète, jamais ne s’arrête.
Harmonieux, bien joyeux, là-haut depuis les cieux.
Et puis, il lève la tête,
Et aperçoit, bien étonné.
Un Père Noël, tout boudiné.
Sur un traîneau, tout argenté.
Le nez en l’air, les oreilles au vent,
Il voit un sac, qui se rapproche,
Pour tomber, et l’écraser.
Comme une crêpe, bien affinée.
Le Père Noël, tout confus,
Descend sur terre, les pieds goulus.
De toutes des forces, tire le sac,
Qui en vain, reste sur place.
Perdant espoir, il prend une corde,
Et l’attache au traîneau, depuis le sac.
Puis dit aux rennes de bouger d’ici.
Que Noël approche, il ne faudrait pas les ralentir.
Après cette soirée enchantée,
Que Noël est terminé,
Le Père Noël rentre chez lui,
Tout fière de lui, sa mission accomplie.
Alors que les rennes sont endormis,
Il range ses chaussures, son bonnet, et son habit.
Puis prend le sac, pour le ranger,
Et trouve le lutin écrabouillé.
Celui-ci se réveille tard dans la soirée,
Face à une tasse de thé, près de la cheminée.
Il s’endort paisiblement,
Après cette soirée, bien mouvementée.
