Quelle femme …
Je prends aujourd’hui ma plume
Pour vous conter l’histoire,
L’histoire peu commune,
D’une femme sortie du noir.
Tous ses démons étaient si forts,
Mais elle a toujours gardé espoir,
Et quand mon cœur se remémore,
L’amour était son seul devoir.
Si mon triste visage,
Sa douce main caresse,
Je pars sur le rivage,
De l’enfantine tendresse.
Cette femme est une grande dame,
Je l’admire pour sa vie,
Dieu lui-même veille son âme,
Chaque épreuve une survie.
Si vous pouviez voir ses yeux,
Ils savent percer mes maux,
Ils sont d’un vert merveilleux,
Séduisent avec brio.
Laissez moi vous parler,
De son humour grinçant,
De son drôle de côté,
Un peu dérangeant.
On lui a souvent reproché,
De dire tout haut,
Ce que d’autres n’ont osé,
Qu’ à demi mot.
Tolérance devrait être son nom,
À quoi bon juger les autres?
Vous devez être parfait, sinon,
Le silence doit être votre.
Elle a toujours su inventer,
Pour moi un tendre parapluie,
Elle a toujours su essuyer,
Sur ma joue les larmes de pluie.
Je n’ose m’arrêter d’écrire,
Ai-je tout raconté?
J’ai dû oublier tous ces rires !
Qui m’on tant apporté.
Il m’aura fallu trente ans !
Pour offrir telle une enfant,
Un poème, somme toute charmant,
À cette femme que j’aime tant.
À cette femme qu’est ma maman.
Je prends aujourd’hui ma plume
Pour vous conter l’histoire,
L’histoire peu commune,
D’une femme sortie du noir.
Tous ses démons étaient si forts,
Mais elle a toujours gardé espoir,
Et quand mon cœur se remémore,
L’amour était son seul devoir.
Si mon triste visage,
Sa douce main caresse,
Je pars sur le rivage,
De l’enfantine tendresse.
Cette femme est une grande dame,
Je l’admire pour sa vie,
Dieu lui-même veille son âme,
Chaque épreuve une survie.
Si vous pouviez voir ses yeux,
Ils savent percer mes maux,
Ils sont d’un vert merveilleux,
Séduisent avec brio.
Laissez moi vous parler,
De son humour grinçant,
De son drôle de côté,
Un peu dérangeant.
On lui a souvent reproché,
De dire tout haut,
Ce que d’autres n’ont osé,
Qu’ à demi mot.
Tolérance devrait être son nom,
À quoi bon juger les autres?
Vous devez être parfait, sinon,
Le silence doit être votre.
Elle a toujours su inventer,
Pour moi un tendre parapluie,
Elle a toujours su essuyer,
Sur ma joue les larmes de pluie.
Je n’ose m’arrêter d’écrire,
Ai-je tout raconté?
J’ai dû oublier tous ces rires !
Qui m’on tant apporté.
Il m’aura fallu trente ans !
Pour offrir telle une enfant,
Un poème, somme toute charmant,
À cette femme que j’aime tant.
À cette femme qu’est ma maman.