L’enfant du mensonge
( l'impardonnable méprise)
Elle était né début juillet
Et y avait deux, trois soleils
Qui penchés sur son lit douillet
Réchauffaient son tendre sommeil.
C’était le temps joyeux, témoin
Que brumeux ne serait demain,
Le temps ou tout était bon soin
Surtout l’amour entre leurs mains.
Et puis les années insouciantes
Ont passé comme dépitées,
Bien désertées par l’étudiante
Et la dure réalité
Qui lui recracha l’implacable…
Pardon, motus furent ses choix
Et Bien que triste et vulnérable,
Fallait en supporter le poids.
Elle était bien née d’une erreur
Alors comment s’aimer, sans moire?
Et puis comment aimer, sans peur?
Et sans gâcher sa propre histoire…
Elle était née début juillet
Demain fuiront tous ses soleils,
Qui penchés sur son cœur pauvret
Réchauffaient son trop lourd sommeil
Et ses pleurs seront légitimes
Quoique la rumeur puisse en dire
De ce mot sans aucune estime
Qui bon gré mal gré, fort soupire
Depuis longtemps sous son battoir;
Des chers parents qui se déchirent
Au couard bafouant ses devoirs
Comprenez qu’enfin!… je respire,
Car au final c’n’est pas si mal,
Ne pas être serait bien pire!
Judy
( l'impardonnable méprise)
Elle était né début juillet
Et y avait deux, trois soleils
Qui penchés sur son lit douillet
Réchauffaient son tendre sommeil.
C’était le temps joyeux, témoin
Que brumeux ne serait demain,
Le temps ou tout était bon soin
Surtout l’amour entre leurs mains.
Et puis les années insouciantes
Ont passé comme dépitées,
Bien désertées par l’étudiante
Et la dure réalité
Qui lui recracha l’implacable…
Pardon, motus furent ses choix
Et Bien que triste et vulnérable,
Fallait en supporter le poids.
Elle était bien née d’une erreur
Alors comment s’aimer, sans moire?
Et puis comment aimer, sans peur?
Et sans gâcher sa propre histoire…
Elle était née début juillet
Demain fuiront tous ses soleils,
Qui penchés sur son cœur pauvret
Réchauffaient son trop lourd sommeil
Et ses pleurs seront légitimes
Quoique la rumeur puisse en dire
De ce mot sans aucune estime
Qui bon gré mal gré, fort soupire
Depuis longtemps sous son battoir;
Des chers parents qui se déchirent
Au couard bafouant ses devoirs
Comprenez qu’enfin!… je respire,
Car au final c’n’est pas si mal,
Ne pas être serait bien pire!
Judy
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